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Test du Anthem MRX-310

Test de l'amplificateur home-cinéma Anthem MRX-310

Pourquoi tester cet ampli ?


Comme l'était son prédécesseur le MRX-300, ce MRX-310 est un amplificateur home-cinéma qui s'adresse aux plus exigeants. La marque canadienne Anthem connait un essort considérable depuis quelques années grâce à sa capacité à créer des amplificateurs home-cinéma qui fonctionnent aussi parfaitement en stéréo. La gamme 2014 des ampli AV d'Anthem est constituée de la façon suivante :

Cette nouvelle mouture du plus petit des 3 « MRX » est présentée comme plus simple à paramétrer que son prédécesseur et à la fois plus performant. Alors, qu'en est-il vraiment ?

A quoi ressemble-t-il ?


Avant de l'Anthem MRX-310

Arrière de l'Anthem MRX-310

Caractéristiques techniques de l'amplificateur Anthem MRX-310

Connectiques :

Mesures constructeur :


Audio :

Fonctionnalités :

Généralités :

Télécommande de l'Anthem MRX-310

Ressentis sur l'esthétique et la finition

ANTHEM a clairement revue sa copie quant à l'aspect visuel de sa nouvelle génération d'intégrés MRX. La face avant, bien que plus moderne, plus aguicheuse, garde un visuel rassurant, transpirant la solidité, et ce ne sont pas que des impressions croyez-moi. L'assemblage des diverses parties externes ne souffre d'aucun laisser aller, pas d'écart ou de jour sur les jonctions d'éléments quels qu'ils soient, matériaux de qualités et d'épaisseurs plus qu'honorables pour le prix demandé. Le capot supérieur « granuleux » ne vibre pas en tapotant dessus, chose assez rare pour être soulignée. Un détail qui peut sembler anodin pour certains... Les pieds qui le découplent de son support sont non seulement larges, stabilisant très bien ce dernier mais aussi de hauteur biens pensé.


Connectique enceintes de l'Anthem MRX-310 Connectique entrées de l'Anthem MRX-310


Pourquoi donc ? Et bien il est facile de passer un plumeau type SWIFFER, un chiffon microfibre aspergé de produit d'entretien sous l'appareil, sans avoir à le déplacer. Pareil sur la face arrière, les connecteurs sont assez haut-placés pour ne pas accrocher votre chiffon lors de la session ménagère. La face arrière justement, tous les connecteurs sont bien ancrés au châssis, pas de jeu sur les borniers d'enceintes ni sur les fiches analogiques. Une barrette plastique s'intercale entre les borniers haut-parleurs haut/bas. Là encore un détail bien vu, aucun risque de court-circuit accidentel. Les fiches bananes ou fourches sont acceptées bien entendu, une fois les têtes de borniers délestées de leurs capuchons occultant. J’ai volontairement essayé des terminaisons NEUTRIK sur la totalité des embases analogiques présentes, aucune ne bouge malgré l'énorme grip de ces dernières. Le secteur se positionne correctement, ne tombe pas vers le bas comme souvent, son emplacement en haut, côté opposé aux bornes d'enceinte, évite de se retrouver avec le croisement des câbles intempestifs. L'entrée USB (pour les MAJ) accroche un peu fort pour sa part, il ne faut pas hésiter à saisir fortement votre clé pour la retirer.

Prises de vue intérieures


Mise en oeuvre et rodage

Recherche du sens de branchement (Phase, fuite magnétique du transformateur) à l’aide d’un voltmètre : normal, écart non mesurable sur l’appareil, dans un sens ou dans l'autre. Rodage d'une centaine d'heures, alternant le Magic CD de JMR, CD basses fréquences, fichiers QOBUZ.

Cycles triple temporisation :



TARGET - USB ANTHEM


TARGET - USB QED

Aparté avant les écoutes

En préambule, la calibration des enceintes couplées fut réalisée post rodage, puis peaufinée en mode manuel avant réinjection dans l’intégré d’essai. La calibration offerte par ANTHEM étant assez poussée quant à sa puissance de calcul, conséquente sur le rendu final, j’ai longuement travaillé, échangé avec ANTHEM, sur les possibilités du système automatique ET manuel. Par curiosité j’ai voulu « voir » si les mesures différaient en changeant le câble USB/Mini USB d’origine. Un USB/Mini USB QED fut donc branché entre le micro et le PC, après mesures effectuées avec celui d’origine. Le tout sur 5 positions identiques, afin de ne pas avoir la moindre différence de placement du micro.

Partant du fait qu’une bonne liaison USB améliore le transfert source/DAC par exemple, ou qu’un câble analogique donne une amélioration audible, je me suis dit….. « Pourquoi pas ?! » Et surprise, le micro « entend » plus de choses, surtout sur les basses fréquences. Les mesures changent légèrement sur les enceintes d’essais, mais surtout sous les 60Hz. Alors que le caisson est plus marqué en différence, il est même cerné différemment, il n’y a qu’à voir l’onglet « Target », les chiffres parlent d’eux-mêmes.

Un chapitre en fin d’essai sera développé pour vous aider, conseiller au mieux sur cette calibration hors norme dans cette catégorie.

Les écoutes

Comme à mon habitude, les écoutes commencèrent par des sessions stéréo, puis en 2.1, pour finir sur la partie multi canal. Il est toujours plus facile de cerner les possibilités, performances, et souvent les manques d’un intégré à vocation Home-cinéma en mode stéréo…

Les albums choisis pour les écoutes:



Pour avoir eu en essai et en perso un MRX-300, je partais confiant sur cette nouvelle mouture du fabricant canadien. Alors autant y aller « franco » et directement me rendre compte si l’héritage était bien là. Place au rythme effréné d’AC/DC !

ACDC, Back in Black : aussi surprenant que cela puisse être, il est très dur pour un appareil entrée ou milieu de gamme de tenir la distance sur cet album, les écarts dynamiques et les dynamiques sont justes incroyables, les basses omniprésentes et descendant très bas. Beaucoup, et encore plus dans ceux home-cinéma lâche prise et perdent un poumon en cours de route…. En est-il de même sur l’ANTHEM ?
Je vous rassure de suite, le transformateur et les condensateurs ne courbent pas l’échine, le petit MRX-310 bombe le torse et s’en donne à coeur joie. Les basses vous cognent le plexus, vous chatouilles le pantalon avec force, il ne s’écroule pas en ouvrant le potentiomètre en grand. Le médium creusé par choix lors de la prise de son, renforce cette sensation de musculature saillante, les voix surgissent avec la signature vocale reconnaissable entre mille, elles ne se noient pas au milieu de cette débauche d’énergie, la partie pré amplification sait démêler tout ça très convenablement. L’aigu rugueux, électrique, mordant sort des enceintes avec véracité. Luminosité et brillance sont au rendez-vous, sans tomber dans la stridence malvenue. Très bien… Le piège tendu étant évité, les autres styles musicaux, moins exigeants sur la demande en courant, en tenue, devraient passer sans encombre.

Daft Punk, Random Acces Memories : le Fichier QOBUZ de Daft Punk lancé par FOOBAR 2000 donne le ton, comme sur l’album précédent, il est clair que l’ANTHEM est dans son élément lorsqu’il s’agit de musique entrainante, vivante, dansante. Titre après titre, l’ANTHEM vous invite au foot tapping, à monter toujours un peu plus le volume, jusqu’à se retrouver à un niveau sonore ou les voisins peuvent venir frapper à la porte, vous ne les entendrez pas. Tout cela sans fatigue auditive bien entendu, la tenue est vraiment étonnante pour les chiffres annoncés. Petites mentions sur l’aération et l’ouverture de cet album, la scène mise en oeuvre est crédible, débordant le cadre des enceintes en profondeur comme en largeur. Seule la hauteur mériterait un petit mieux, mais bon… Je chipote un peu.

Titre après titre, l’Anthem vous invite au foot tapping, à monter toujours un peu plus le volume, jusqu’à se retrouver à un niveau sonore ou les voisins peuvent venir frapper à la porte mais vous ne les entendrez pas.

Herbie Hancock, Possibilities : passons à des morceaux plus posés, plus immersifs, l’album de Monsieur Herbie Hancock. Une nouvelle fois, la restitution n’appelle que peu la critique, l’émotion et l’échelle sont joliment retransmises. La voix de Sting ou celle d’Angélique Kidjo d’une saveur exquise, sans coloration notable, avec une articulation plus qu’à même pour un appareil dédié aux bandes sons de films. Le phrasé est vraiment compréhensible, du bel ouvrage.
Une belle prouesse du MRX-310 sur le titre N°6 (Celui avec Sting justement.), ce morceau a la particularité d’avoir des effets droite/gauche, virevoltants autours des enceintes, de devant a derrière les coffrets mêmes. Et bien il est facile de suivre les bruissements qui se baladent dans la pièce, sans trou sonore qui plus est.
Là, pour le coup c’est à cocher d’une croix rouge car aucun intégré audio-vidéo a moins de 20000/25000€ ne m’avait ressorti cela sans accroc ! La petite projection voulue sur deux pistes est présente elle aussi, sans sur jouer ou sur exposer cette « fantaisie » désirée. Les interprètes se positionnent donc bien devant l’instrumentation comme ils doivent l’être. Le préampli sait raison garder, et c’est tant mieux.

Led Zeppelin, Led Zeppelin IV « Stairway To Heaven » : pour finir sur les écoutes stéréo, je termine avec le titre au combien connu de Led Zeppelin : Stairway to Heaven, que j’affectionne particulièrement pour ses passages calmes à endiablés. Nouvelle belle performance d’ANTHEM, mais cette fois sur une partie plus délicate…. La richesse et la compréhension du message à faible intensité.
Ce titre démarre tout en douceur, avec une dynamique en retenue, il faut une certaine maitrise des appareils pour que l’écoute ne sombre pas dans l’ennui, dans l’attente que ça parte ! Le MRX-310 sait faire cela, les petits bruits, les instruments se distinguent fort bien, les premières minutes vous tiennent en haleine sans perdre l’auditeur. Puis vient le moment ou le morceau démarre sur les plans d’ouvertures et de dynamique, la vie et l’entrain prennent place, l’ANTHEM rempli ses réserves de courant puis lâche tout sur les dernières minutes, ou l’écart de rythme et de tension sont tout autre. La pièce se remplie d’un volume sonore qui surprendra celui qui n’a pas connaissance du titre, l’instrumentation se propage avec force et réalisme, le chanteur tend ses cordes vocales et ça s’entend, se ressent même dirais-je.

Petite mention sur le bas du spectre d’une rapidité et fermeté de premier ordre. De l’entrain et de la vie il y en a vous l’aurez compris, mais il en faut plus pour rendre une écoute appréciable non ?? Et ça, la nouvelle génération de chez ANTHEM vous le donne, pour un prix finalement pas si élevé vu la qualité de rendu stéréo.

Je me suis aventuré sur des essais en 2.1 pour finir les écoutes. Bien que souvent décrié par les puristes de la stéréo, force est de constater qu’avec le « Bass-management » évolué (Merci à l’ARC M1 encore une fois !) il est pour moi tout à fait possible, voir recommandé suivant les enceintes couplées, d’avoir un rendu très qualitatif. Personnellement, et bien que les enceintes colonnes avaient un bas du spectre plus que convainquant, j’ai préféré les titres écoutés en 2.1. D’une part parce que cela amène un léger delta au rendu des colonnes sur le médium/aigu, et de deux pour l’extension plus présente, pour la facilité du caisson à s’effacer, laisser place aux basses qui donnent l’impression de venir des colonnes.

Pour aller jusqu’au bout du retour, j’ai également passé un album du maitre Mozart, mais… Il ne faut quand même pas en demander trop au MRX-310… Les partitions ne sont pas assez fouillées, pas suffisamment bâties sur les étagements ou placements.

Maintenant, il faut remettre les choses à leur place, c’est un intégré Home-cinéma qui officie, et hormis cette petite impasse sur un genre très exigeant quant aux capacités de retranscriptions, le MRX-310 est clairement assez musical sur les autres genres, largement plus vivant que biens des intégrés testés auparavant.

La radio

Le tuner intégré est assez sensible pour capter toute les radios souhaitées, ça peut paraitre bizarre d’écrire cela, mais un intégré concurrent n’en avait capté aucune dans « ma campagne Varoise « ! Le rendu sans atteindre un niveau digne d’une écoute de CD ou fichiers QOBUZZ s’en sort convenablement sur cet exercice, tout juste noterais-je quelques points en retrait :

Constat similaire sur le bas du spectre, passant de bon à trainant suivant la bande de fréquence écoutée, l’intégré n’aime pas trop les sources de piètre qualité, il ne cherchera pas à enjoliver ce qui ne l’est pas, mais est-ce un défaut au final ?!

Les films

Voilà le moment d’aborder le terrain de prédilection du cadet de la famille MRX 2014, le home-cinéma. Ses prestations musicales pures étant quelques peu étonnantes, il y avait fort à parier que les BO de films devraient en profiter… Impatient de savoir si les étages de puissances chargées sur ses cinq canaux, tiendrait la même stature qu’en stéréo…

Les Blu-Ray choisis pour les test vidéo




Je me lance donc dans l’écoute de Pacific Rim, puis de Fast and Furious 6 pour finir plus « en douceur » avec Titanic remasterisé. Premier gros point positif, c’est celui de la fusion de la scène avant. La centrale fait réellement partie intégrante de l’ensemble frontal. Il n’y a quasiment pas de différence de timbre, malgré des haut-parleurs plus petits sur cette centrale, mieux encore, lorsqu’un effet commence au milieu pour se finir sur l’enceinte gauche (par exemple.), il n’y a pas de trou, le glissement de l’une à l’autre « se suit » a l’oreille.

Quand la bande son s’emballe, et c’est souvent sur des Blockbusters, les dialogues restent clairs et nettement compréhensibles, l’apocalypse peut se déchainer sur les autres enceintes, vous cernerez toujours ce que disent les acteurs. Les enceintes droite et gauche soulagées du bas du spectre, partie la plus gourmande en watts si il est besoin de le rappeler, sont d’une tenue exemplaire la encore pour le positionnement tarifaire de l’intégré. A aucun moment les membranes de graves (Aux nombre de trois et en 16.5cm quand même.) ne s’affolent ou ne saturent (Coupure à 60Hz.), le grave est physique, rapide et nuancé, jamais brouillon ou perdant de sa lisibilité. Les médiums/aigus font preuve d’une cohésion exemplaire et ne masquent pas ceux de la centrale quand les trois enceintes sont à la fête au même moment.

Les effets surrounds enveloppent l’auditeur de belle manière, l’effet bulle est plus prononcé que sur l’ancienne génération Ce qui donne une image sonore large et précise sur les placements/déplacements d’effets. La transition de la coupure choisie (80Hz ici.) est elle aussi superbement gérée, en pente douce ne créant point de manque sur la partie du spectre redirigée vers les autres enceintes. Sur des bandes sons ou les arrières sont très sollicitées, l’amplification amène le courant nécessaire pour que les effets ressortent avec force et dynamisme. Le caisson de basse est très clairement l’enceinte qui m’a bluffé !! Inutile de tourner autour du pot, la gestion, la mise en oeuvre/intégration par le système ARC M1 est juste du jamais vu pour le prix !!

Quand la bande son s’emballe, et c’est souvent le cas sur des Blockbusters, les dialogues restent clairs et nettement compréhensibles, l’apocalypse peut se déchainer sur les autres enceintes, vous cernerez toujours ce que disent les acteurs.

Il est impossible de positionner le caisson dans la pièce à l’oreille. Les basses viennent de devant, semblent sortir des enceintes elles-mêmes, remplissent la pièce sur toute la surface dédiée. Le Sweet point est présent et précisément placé lorsqu’il doit l’être. Bluffant je vous dis. Les basses justement, quelle propreté. Qualité et quantité riment (Enfin.) avec budget accessible. Le Subwoofer choisi pour les essais, s’en trouve métamorphosé après son passage dans les mains de l’ARC. Le plus frappant, sont les plus basses fréquences dont le caisson est capable, plus fermes, plus rapide et possédant plus d’étagement que sans traitement. Cela sans talonnement ou pointe de saturation au passage. Chapeau bas aux ingénieurs d’ANTHEM.

Deux petites mentions particulières :

L’ANTHEM MRX-310 est donc un compagnon de séance home-cinéma de tout premier ordre, mais également pour des écoutes musicales, ou même, sans égaler un intégré stéréo, il s’en sort avec honneur. Un coeur cinéphile à l’âme mélomane, voilà comment je qualifierai cet appareil

Bilan de ce test

Les avantages

Nous aurions aimé :

Quelques conseils

La calibration ARC M1 et ses améliorations en Manuel

Le mode manuel donne accès à la quasi-totalité des réglages imaginables pour une égalisation dite : Grand public. Vous pourrez visionner les courbes brutes, pré Bass-mangement, la cible et enfin celle corrigée en auto par le logiciel. Sur trois enceintes et deux caissons différents présents pour tester cette calibration, les résultats sur les frontales sont plus que cohérents sur les courbes calculées/traitées. Seule une petite mise à niveau de la fréquence de coupure à positionner plus bas à chaque fois et le tour est jouée.
A ce sujet, il y a une « petite chose » qui a son importance pour les enceintes, mais également pour le sub dans une moindre mesure : La courbe cible (Celle en noire.) se positionne près des 75DB de référence, il ne faudra pas chercher à tenter de mettre une coupure bien plus basse que celle ou les enceintes sont le plus proche de cette référence, cela même si elles descendent plus bas sur le papier, ou sur les courbes de réponses dans la pièce.

Exemple

Commençons par le Front calculé en mode Auto.


Front calculé en mode Auto

Coupure 40Hz

« EQ Cutoffs » 20Hz

Capture du mode auto


Subwoofer

Target

Capture du mode retouchées manuel


Subwoofer

Target

Une fois remit en « forme » et passé dans les algorythmes, il n’a plus grand chose a voir avec avant. La première chose a changer c’est de passer le caisson en « FLAT », puis la fréquence du « Subwoofer High pass fréquency » à caler sur 110hz, cette coupure n’est pas choisie par hasard, il faut savoir que le canal LFE de nos bandes sons de films « montent » jusqu’à 110HZ, d’où ce choix. Enfin, baisser par tranche d’un hertz le « Minimum Subwoofer EQ Fréqency » pour trouver la courbe le plus linéaire, jusqu’à la fréquence de coupure. Si votre courbe n’est plus au plus près audela ce n’est pas grave, le but est bien de maintenir l’équilibre « Cible/corrigé » du plus bas possible et jusqu’à ce point de coupure/liaison. Et pour finir, jouer avec le « Room Gain » pour peaufiner l’ensemble.



Voilà qui termine ce galop d’essai de l'ampli Anthem MRX-310, appareil que je conseil fortement pour qui aime se retrouver plongé au milieu de l’action d’un film, à ceux pour qui regarder un Blockbuster rime avec sensations physiques, et également à ceux qui apprécient une pointe de musicalité sur les BO. Concrètement, il saura ravir chacun d’eux ! Là où il devance quelques rivaux, c’est sur ses bonnes prestations en stéréo, ça c’est carrément une aubaine pour la somme dépensée. J’ai passé d’agréables semaines en compagnie de l’ami canadien, il va me manquer c’est sûr. Je souhaite aux futurs acquéreurs autant de plaisir avec lui que j’en ai eu !


Ludo, Mai 2014